Une balle lancée, des cris et du noir... toujours du noir... autour de la zone d'ombre s'affaire des hommes et des femmes qui parlent, puis toujours du noir... Quelques jours plus tard, le noir disparut lorsqu'elle ouvrit enfin ses yeux. La demoiselle voyait encore plus flou qu'à l'habitude et tenta de bouger sa main pour chercher ses lunettes, mais elle n'y arriva pas, car quelque chose de dur la retint. Ce quelque chose lui fit arracher un cri de surprise. Ce cri raisonna dans la pièce vide, ce qui averti les gens hors de la pièce qu'elle était réveillée. Etant encore affairés, ils ne purent pas tout de suite s'occuper de son cas, ce qui permit à une présence de se manifester, puis de s'asseoir sur le lit.
- Enfin debout ? ça va faire presque un an que tu dors !
"Hein ?"
Etant encore dans les vapes, la jeune femme ne comprit pas tout de suite ce qui était en train de lui arriver. La personne qui lui parlait attendit quelques minutes que son interlocutrice ait reprit ses esprits, ce qui ne dura pas longtemps.
"QUOI J'AI DORMIS UN AN ??? Pas possible !"
S'exclama la demoiselle en étant toute perdue et surtout paniquée, car elle s'inquiètait pour les gens qu'elle connaissait et qui comptait sur elle.
- Je sais, ça fait un moment.. tu me reconnais au moins ? Attend, je vais te mettre tes lunettes. Tu as de la chance que je puisse matérialiser de temps en temps ma main pour attraper des objets ! En passant, ne parle pas trop fort, tu te souviens bien qu'ils ne peuvent me voir !
Cette personne que seul la jeune femme pouvait voir matérialisa sa main et saisit la paire de lunette posée sur la table de chevet pour la mettre sur le visage de la demoiselle. Cette dernière vit beaucoup mieux ce qui l'entourait et en voyant beaucoup mieux son amie fantomatique, elle se senti mieux, car elle se sentait moins seule. Ce sourire disparut très vite lorsqu'elle vit les liens qui entouraient son corps et la demoiselle se posa des questions.
- La dernière fois, tu es partie avant même d'être complétement rétablie, ils ont prit leur précautions.
"Bah c'est chouette, moi qui rêvait de me faire enlever, j'ai enfin pu réaliser mon rêve. Sinon ça fait plaisir de te revoir Kairi, mais que-ce que je fais attachée en chemise de nuit sur un lit dans une chambre d'hôpital ? Je ne comprend pas."
- Elodie ce n'est pas un jeu ! Ce n'est pas un enlevement, c'est un sauvetage ! Tu as faillis mourir, les médecins t'on sauvé la vie après qu'un inconnu t'ai ammenée jusqu'ici, car il n'a pas pensé à te laisser au CHUV, il ne connaissait pas le chemin.
"Mais... mais... mais maman va s'inquièter ! Et puis mes grands-parents aussi ! Et puis, j'ai sûrement été renvoyée du bureau avant autant de temps d'absence ! Et pis mon copain... mon copain a du se trouver une copine depuis tout ce temps !"
En ayant cette pensée à l'esprit, des larmes silencieuses commencèrent à couler de ses yeux. ça lui faisait tellement de mal d'y penser et d'imaginer la scène.
- Tu t'emporte pour rien, l'inconnu à regardé tes papiers et a été prévenir tes connaissances. Ton père est venu te voir hier, ils ne peuvent pas venir tout les jours. Baka tu ne sais donc pas qu'il faut une demi-journée pour aller en France depuis la Suisse ? Bon moi je m'en vais, j'entend quelqu'un qui vient.
Kairi disparut lorsqu'une infirmière ouvrit la porte et entra dans la pièce.
- Je vois que vous êtes réveillée. A qui parliez-vous ?
"A moi-même, ça me prend souvent quand je sors d'un coma"
Dit la jeune femme ironiquement. L'infirmière la prenant pour une folle, s'approcha et regarda si tout allait bien, mais ça avait l'air d'être le cas. Tout ce qu'elle fit, ce fut d'essuyer les yeux de la demoiselle.
- Voulez-vous quelque chose à boire ou à manger ?
"Ah bah pourquoi pas, dormir ça m'a donné faim ! Par contre, vous ne voudriez pas me détâcher par hasard ? J'ai l'impression d'être une myopathe en ne pouvant rien faire...
- J'ai l'interdiction du docteur en chef de ne pas vous détâchez. Désolée
Sur ce, elle parti en refermant la porte comme si de rien n'était passé. En attendant qu'elle revienne, Elodie se mit à chanter.
"Il y a une ombre dans le vent, je crois qu'une tragédie m'attend. Comment lui avouer comme je l'aime sans lui faire part de mes problèmes ? Le pire est encore à venir, sait-il que pour lui je donnerais ma vie ?"
Souvent interrompu par des toussottements à cause de sa voix qui avait du mal à repartir vers les aigus, la complainte de Sally était toujours ausis jolie à entendre bien que ça ne soit qu'un infime bout de la chanson. Ce fut alors qu'on cogna à la porte.
"Entrez !"
Dit-elle en élevant le ton pour que la personne qui était à l'extérieur pouisse entendre qu'elle pouvait entrer.
- Enfin debout ? ça va faire presque un an que tu dors !
"Hein ?"
Etant encore dans les vapes, la jeune femme ne comprit pas tout de suite ce qui était en train de lui arriver. La personne qui lui parlait attendit quelques minutes que son interlocutrice ait reprit ses esprits, ce qui ne dura pas longtemps.
"QUOI J'AI DORMIS UN AN ??? Pas possible !"
S'exclama la demoiselle en étant toute perdue et surtout paniquée, car elle s'inquiètait pour les gens qu'elle connaissait et qui comptait sur elle.
- Je sais, ça fait un moment.. tu me reconnais au moins ? Attend, je vais te mettre tes lunettes. Tu as de la chance que je puisse matérialiser de temps en temps ma main pour attraper des objets ! En passant, ne parle pas trop fort, tu te souviens bien qu'ils ne peuvent me voir !
Cette personne que seul la jeune femme pouvait voir matérialisa sa main et saisit la paire de lunette posée sur la table de chevet pour la mettre sur le visage de la demoiselle. Cette dernière vit beaucoup mieux ce qui l'entourait et en voyant beaucoup mieux son amie fantomatique, elle se senti mieux, car elle se sentait moins seule. Ce sourire disparut très vite lorsqu'elle vit les liens qui entouraient son corps et la demoiselle se posa des questions.
- La dernière fois, tu es partie avant même d'être complétement rétablie, ils ont prit leur précautions.
"Bah c'est chouette, moi qui rêvait de me faire enlever, j'ai enfin pu réaliser mon rêve. Sinon ça fait plaisir de te revoir Kairi, mais que-ce que je fais attachée en chemise de nuit sur un lit dans une chambre d'hôpital ? Je ne comprend pas."
- Elodie ce n'est pas un jeu ! Ce n'est pas un enlevement, c'est un sauvetage ! Tu as faillis mourir, les médecins t'on sauvé la vie après qu'un inconnu t'ai ammenée jusqu'ici, car il n'a pas pensé à te laisser au CHUV, il ne connaissait pas le chemin.
"Mais... mais... mais maman va s'inquièter ! Et puis mes grands-parents aussi ! Et puis, j'ai sûrement été renvoyée du bureau avant autant de temps d'absence ! Et pis mon copain... mon copain a du se trouver une copine depuis tout ce temps !"
En ayant cette pensée à l'esprit, des larmes silencieuses commencèrent à couler de ses yeux. ça lui faisait tellement de mal d'y penser et d'imaginer la scène.
- Tu t'emporte pour rien, l'inconnu à regardé tes papiers et a été prévenir tes connaissances. Ton père est venu te voir hier, ils ne peuvent pas venir tout les jours. Baka tu ne sais donc pas qu'il faut une demi-journée pour aller en France depuis la Suisse ? Bon moi je m'en vais, j'entend quelqu'un qui vient.
Kairi disparut lorsqu'une infirmière ouvrit la porte et entra dans la pièce.
- Je vois que vous êtes réveillée. A qui parliez-vous ?
"A moi-même, ça me prend souvent quand je sors d'un coma"
Dit la jeune femme ironiquement. L'infirmière la prenant pour une folle, s'approcha et regarda si tout allait bien, mais ça avait l'air d'être le cas. Tout ce qu'elle fit, ce fut d'essuyer les yeux de la demoiselle.
- Voulez-vous quelque chose à boire ou à manger ?
"Ah bah pourquoi pas, dormir ça m'a donné faim ! Par contre, vous ne voudriez pas me détâcher par hasard ? J'ai l'impression d'être une myopathe en ne pouvant rien faire...
- J'ai l'interdiction du docteur en chef de ne pas vous détâchez. Désolée
Sur ce, elle parti en refermant la porte comme si de rien n'était passé. En attendant qu'elle revienne, Elodie se mit à chanter.
"Il y a une ombre dans le vent, je crois qu'une tragédie m'attend. Comment lui avouer comme je l'aime sans lui faire part de mes problèmes ? Le pire est encore à venir, sait-il que pour lui je donnerais ma vie ?"
Souvent interrompu par des toussottements à cause de sa voix qui avait du mal à repartir vers les aigus, la complainte de Sally était toujours ausis jolie à entendre bien que ça ne soit qu'un infime bout de la chanson. Ce fut alors qu'on cogna à la porte.
"Entrez !"
Dit-elle en élevant le ton pour que la personne qui était à l'extérieur pouisse entendre qu'elle pouvait entrer.