[Québec] Réveil. (Pv: Jen.)

Pierre-Olivier gisait sur son lit d'hopital depuis un bon 3 mois.C'était dû au fait qu'il était qu'il était tombé dans le coma suite a un grandeur nature*.Pendant qu'il se promenait la nuit en forêt il avait vu la tombée d'un météorite.Quand il trouva finalment le lieu de l'atterissage,il remarqua qu'une lumière assez vive émanait de la place.Étant de plus en plus intrigué dû a ca nature curieuse,il continuait d'approché.Quand il était rendu a quelques pas du petit cratère,la lumiere baissa assez rapidement d'intensité.Étrangement,sur le dessus de la météorite se trouvait une bague encastrée.Il essaya de la touché a tatton,voir si l'objet n'était pas brulant.Surprenant mais non,la bague était a temperature de la "pièce".P-o pris la bague tout en se demandant comment elle avait fait pour se retrouver là et deja ne pas fondre.Il la mis dans sa bourse contenant ses perles et retourna sur le sentier puis parti en direction du camp des organisateurs.Soudainement il s'était mis a avoir un malaise.Une chaleur insuportable montait en lui et il étouffait.Pierre-Olivier se mit a courrir le plus vite possible puis dans son effort tomba sur le sol,sans connaissance.


***

Pierre-Olivier entrouvrit les yeux quelques fois,puis les ouvrits completements.Il se trouvait dans une chambre d'hopital.Il devait être approximativement midi a en juger a la position du soleil.Il avait la bouche extremement seche et avait peine a bouger.Il était dans une chambre privée.Il ne savait aucunement ce qu'il fesait là n'y depuis quand il était là et dans quelles circonstances il s'était ramassé là.

-Arg...erhm...medecin...Hopital...soif...aide...arfff...

Il ne savait pas comment fort il avait dis ces paroles mais probablement suffisament fort car il vit deux ou trois infirmières passer par le cadre de porte puis il referma ses yeux et s'endormit.


*Le jeu de rôle grandeur nature, appelé généralement "Grandeur
Nature", ou parfois jeu de rôle « en live » ou en Semi Réel par les
joueurs (abréviations courantes: GN, live) est un jeu de role.
Les joueurs y campent un personnage évoluant dans un univers défini, le
temps d'une aventure. À la différence du théâtre, les joueurs, ne
connaissent ni la fin de l'histoire ni le rôle des autres joueurs.
L'histoire nait de l'interaction de chacun et avec les éléments prévus
par les organisateurs dans le scénario.

Elle bondit de sa chaise lorsqu'elle entendit du bruit.
"Tabarnak, y parle, y'a parlé ! Câlisse amenez moi de l'eau! Argh shit y se rendors.."
fit-elle de sa voix ensommeillée.

Elle se dirigea vers le lit d'hôpital et secoua son ami par les épaules.

"Réveille ostie, réveille, calisse..."
Soufflait-elle, inquiète.

Et s'il ne se réveillait pas de nouveau? Non. La jeune femme écarta cette pensée de son esprit du revers de la main, mais ne pouvait l'empêcher de revenir. On dirait que tout le monde était comateux ces temps-ci. Tout le monde, sauf elle..Bon, il y avait bien cette fois où elle s'était endormie sur son clavier en retapant une recherche pour le Cégep, mais ce n'était rien. Du moins, c'est ce qu'elle essayait de se faire croire.



À l'appartement, tout était paisible. Ses longs doigts fins et pâles courraient sur le clavier sombre alors qu'elle luttait inlassablement contre cette envie irrépressible d'aller poser sa tête sur l'oreiller. Prenant une pause de quelques secondes, elle jetta un rapide coup d'oeil par dessus son épaule, jettant un regard amoureux à son homme endormi. Elle poussa un soupir d'envie et continua à taper son essai, pour lequel elle avait passé une semaine complète à faire des nuits blanches.

Les douzes coups de minuit sonnèrent et elle ne dormait toujours pas. Reprenant une gorgée de café, elle décida d'aller ouvrir la fenêtre, car l'air de la nuit lui manquait. Elle retourna s'asseoir, prenant une grande inspiration, l'air frais emplissant ses poumons, la revigorant. Mais une lueur vint la stopper dans son soupir d'aise, une lueur si forte qu'elle grogna de mécontentement.

Elle suivit la lueur des yeux. Celle-ci traversa la fenêtre ouverte et atteri à ses pieds. Il s'agissait d'une..montre-gousset? Fort intéressant. Elle en cherchait une depuis longtemps, et voilà que celle-ci lui tombait dessus. Aussitôt la montre enchaînée à son poignet, elle senti une faiblesse extrême. Elle n'aurait pas dût veiller si tard...Si tard..Dormir..

Et elle tomba dans le coma, pour se réveiller une heure plus tard, perturbée par ses "rêves".



Elle faisait les cents pas dans la chambre d'hôpital, espérant que son ami allait se réveiller à nouveau.

Subitement,Pierre-Olivier réouvra les yeux.Plein de personne faisant parti du personnel hospitalier l'entourait.Il s'assit d'un bond sur son lit d'hopital et arracha les solutés qui étaient encastrés dans son bras dans un mouvement sacadé de bras.Quand ca fait plusieurs mois que presque aucun de nos muscles ont été utilisés,c'est normal qu'on aille de la difficulté a les utilisés.Presquetout de suite apres il retomba dans le lit,étant trop faible pour faire plus.Les infirmieres essayaient de le tenir planté sur le lit pendant que Pierre-Olivier se battait du mieu qu'il pouvait et que ses veines crachait du sang.

-Lacher...moi...CALISSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSS.................

Il foutu un coup de poing mal dirigé a la gorge de la personne la plus proche et tout son corps suivit.Il se ramassa en dehors du lit.Il se sentait comme une véritable épave et haissait cette sensation.

Les médecins priprent Pierre-Olivier par les épaules et l'assirent sur le lit,mais il était tellement mou qu'il ne pouvait se tenir droit.Alors,il le couchèrent sur le lit et lui mirent des sangles aux pieds et aux mains pour qu'il ne puisse plus bouger.Il essayait de se débattre tant bien que mal,mais il était encore et toujours trop faible.Il vit son amie Jennifer qui le regardait.Elle était dans la pièce et semblait se faire du mauvais sang.

-Fait.......fait......fait....'kek chose....

Il regarda Jen d'un air suppliant en espèrant que celle-ci le remarque.

Jen arrêta d'essayer de l'aider. Il y avait trop de médecins, trop d'infirmières autour du lit d'hôpital pour qu'elle ne puisse faire quelque chose sans se retrouver avec une seringue de sédatif planté dans la cuisse. Elle se contenta de se rassoir, un peu triste de ne pouvoir rien faire. Une fois que les médecins en eurent fini avec lui, elle retourna le voir. Il clignait faiblement des yeux, la bouche légèrement entrouverte. Ils lui avaient probablement administré des sédatifs, mais il était encore conscient.

"T'es resté 3 mois couché..c'est pas le temps de te lever tout de suite raide de même.."
Fit-elle doucement, un sourire mélancolique au coin des lèvres.